Et oui, aurais-je un jour cru cela de moi ?
Hier soirée de la Saint Valentin, rien de spécial prévu au programme à part un petit repas sushis avec ma moitié. Mais que vois-je en rentrant (tard) mon homme devant France 3 et Les Victoires de la Musique Classique.
Moi ayant toujours eu horreur de ce style de musique, je me dis "mais qu'est ce que ça encore ? Je me ferai plutôt une série américaine genre les Experts ou New York Unité Spéciale":)
Mais nous sommes Lundi et bien entendu rien d'intéressant à la téloch alors je me dis "pourquoi pas écoutons pour voir, peut être que mon jugement aura changé ?"
Et à cet instant là, je tombe sur un passage où l'on retrouve sur scène plusieurs groupes de chanteurs/chanteuses, on les appellent choristes je crois :), et me mets à tendre l'oreille, à apprécier la fluctuation des voix, l'évolution du morceau, j'ai même une agréable sensation : c'est dansant, motivant, dynamisant !!
Alors oui, il faut l'avouer, j'ai peut être découvert hier un peu plus la musique classique et ce qui me plaisait dedans. Mais ce n'est certainement pas un hasard avec des grands parents maternels professeurs, un grand père musicien et poète, une mère professeur également, qui a toujours bercé là-dedans avec ses origines autrichiennes, un père également qui a toujours écouté ce style de musique pour se détendre, découvrir des sensations d'écoute particulière et une moitié, qui même si elle préfère plutôt le bon vieux rap français, ou le rock ska, ou la bonne électro écoute quand même du classique !!
Comme quoi les choses évoluent, nous évoluons également et apprenons chaque jour à découvrir de nouvelles passions et à se découvrir soi même. Alors qui sait, j'irai peut être voir bientôt Carmen à l'Opéra ?!!
Ce petit post était juste pour vous parler un peu de moi et de ce qui, pour vous peut sembler anodin, mais qui tout compte fait ne l'est pas pour moi et tout aussi important que ma passion pour les réseaux sociaux !
Que c'est sympa d'écrire sur des sujets de la sorte ! Au plaisir alors !
"Turlupinage" prend son origine dans le verbe "turlupiner", qui signifie penser, réfléchir, se prendre la tête gentiment.
mardi 15 février 2011
mardi 8 février 2011
Aurais-je utiliser la curation sans le savoir ?
Quand j'ai vu fleurir sur ma Timeline Twitter, le hashtag #smwcuration, je me suis dit qu'il fallait quand même aller se renseigner sur le sujet, car jusqu'ici je n'en avais pas vraiment entendu parlé. Certainement du fait que je me suis éloignée de mes médias sociaux mais peu importe, il n'est jamais trop tard pour chercher l'information et tout part de là.
Et oui, la curation est un concept suggérant de trier manuellement l'information recherchée avant de la re-distribuer.
Je m'explique : aujourd'hui les informations sont partout, en abondance et cette abondance peut rendre l'information moins pertinente, moins claire pour son lecteur. Il faut donc gérer l'information, la classer pour en tirer le meilleur et pouvoir alors la diffuser de manière plus concrète. Le but étant qu'elle ne se banalise pas à des généralités, qu'à chaque nouvelle lecture elle apporte une valeur ajoutée à son intéressé.
Pour aller plus loin , j'ai donc été un peu sur la toile et me suis rendue compte (à mon grand désespoir de n'avoir pas vu ça plus tôt) qu'il existait déjà de nombreux outils de curation : Scoop.it, Curated.by, Storify.com, Pearltrees, Bag the web, Newser.com, Paper.li, et certainement d'autres encore.
Et c'est comme ça que j'ai compris qu'en installant paper.li j'ai crée mon journal de contenus, que j'ai appelé "les TIC d'alicou34" (original!!), et eu recours à une sorte de curation... alors je suis tombée un peu de haut je vous l'avoue, contrariée de mon erreur de débutante n'ayant pas dénicher ce principe plus tôt sur la toile !!! Pourquoi je dis une sorte, car l'agrégation des contenus se fait automatiquement et reprend les contenus proposés par mes followers Twitter et Facebook pour en faire un condensé. Alors que la curation suppose, que ce "tri" des contenus se fasse manuellement.
Alors ma lanterne éclairée, j'ai installé Pearltress et au premier abord il semble que c'est un outil vraiment très pratique, qui sous forme de perles et d'arbres de perles permet d'agréger son contenu par grands thèmes. Et ceci de manière assez simple, car le site propose de télécharger un module pour votre navigateur web vous permettant, dès que vous êtes sur une page qui vous intéresse, d'ajouter l'URL correspondante à votre arbre de perles ; très simple, très facile d'utilisation et très concret. De plus, cet outil permet aussi de demander de l'aide à des amis, venant de Twitter ou Facebook par exemple, et faire équipe avec eux pour développer à plusieurs votre arbre de contenus.
Avec la curation, nous restons donc sur les fondamentaux du media social, à savoir le partage et l'instantanéité ! Cependant une question, déjà énoncée par Vincent Abry dans son Blog Marketing Web 2.0 et Tech vient se poser à moi : est-ce que la curation va devenir la nouvelle tendance du web social ?
Ma première réponse est qu'il faut, comme pour les médias sociaux de manière plus globale, attendre d'en savoir un peu plus sur les conséquences de la curation avant d'affirmer que oui, la curation est la tendance web de demain. Ne pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué donc !Et en attendant je repars à mes essais Pearltress !
Et oui, la curation est un concept suggérant de trier manuellement l'information recherchée avant de la re-distribuer.
Je m'explique : aujourd'hui les informations sont partout, en abondance et cette abondance peut rendre l'information moins pertinente, moins claire pour son lecteur. Il faut donc gérer l'information, la classer pour en tirer le meilleur et pouvoir alors la diffuser de manière plus concrète. Le but étant qu'elle ne se banalise pas à des généralités, qu'à chaque nouvelle lecture elle apporte une valeur ajoutée à son intéressé.
Pour aller plus loin , j'ai donc été un peu sur la toile et me suis rendue compte (à mon grand désespoir de n'avoir pas vu ça plus tôt) qu'il existait déjà de nombreux outils de curation : Scoop.it, Curated.by, Storify.com, Pearltrees, Bag the web, Newser.com, Paper.li, et certainement d'autres encore.
Et c'est comme ça que j'ai compris qu'en installant paper.li j'ai crée mon journal de contenus, que j'ai appelé "les TIC d'alicou34" (original!!), et eu recours à une sorte de curation... alors je suis tombée un peu de haut je vous l'avoue, contrariée de mon erreur de débutante n'ayant pas dénicher ce principe plus tôt sur la toile !!! Pourquoi je dis une sorte, car l'agrégation des contenus se fait automatiquement et reprend les contenus proposés par mes followers Twitter et Facebook pour en faire un condensé. Alors que la curation suppose, que ce "tri" des contenus se fasse manuellement.
Alors ma lanterne éclairée, j'ai installé Pearltress et au premier abord il semble que c'est un outil vraiment très pratique, qui sous forme de perles et d'arbres de perles permet d'agréger son contenu par grands thèmes. Et ceci de manière assez simple, car le site propose de télécharger un module pour votre navigateur web vous permettant, dès que vous êtes sur une page qui vous intéresse, d'ajouter l'URL correspondante à votre arbre de perles ; très simple, très facile d'utilisation et très concret. De plus, cet outil permet aussi de demander de l'aide à des amis, venant de Twitter ou Facebook par exemple, et faire équipe avec eux pour développer à plusieurs votre arbre de contenus.
Avec la curation, nous restons donc sur les fondamentaux du media social, à savoir le partage et l'instantanéité ! Cependant une question, déjà énoncée par Vincent Abry dans son Blog Marketing Web 2.0 et Tech vient se poser à moi : est-ce que la curation va devenir la nouvelle tendance du web social ?
Ma première réponse est qu'il faut, comme pour les médias sociaux de manière plus globale, attendre d'en savoir un peu plus sur les conséquences de la curation avant d'affirmer que oui, la curation est la tendance web de demain. Ne pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué donc !Et en attendant je repars à mes essais Pearltress !
lundi 7 février 2011
La géolocalisation, concept à la mode ?
Même si je me suis un peu arrêtée de m'amuser avec les outils comme Foursquare, Places ou Google latitude, je voudrais revenir sur ce grand principe de la géolocalisation.
Tout d'abord une petite définition wikipedia :) : la géolocalisation est un procédé permettant de positionner un objet (une personne, une information...) sur un plan ou une carte à l'aide de ses coordonnées géographiques. (j'avoue un peu inutile mais c'était pour le fun!)
Le plus connu des outils de géolocalisation est certainement le GPS, maintenant présent partout et embarqué sur une quantité infinie d'automobiles. Mais aujourd'hui, tous les smartphones valables du marché sont également géolocalisés. Et c'est pourquoi certaines sociétés ont suivi le filon en développant des outils permettant à tout individu directement de son téléphone portable de dire où il est et de partager cette information avec ses amis (j'entends par là, les gens avec qui il est connecté)
Personnellement, quand j'ai commencé à me connecter à Foursquare, c'était vraiment pour m'amuser et essayer de débloquer tout un tas de badges ! Et je me suis très vite arrêtée car je polluais mon Twitter et mon Facebook !
Cependant, ces outils vont bien au-delà de l'amusement et il serait très préjudiciable de n'y voir que mon cas très personnel.
Car aujourd'hui, on voit de plus en plus de commerces, cafés, restaurants, tabacs/presse, entreprises qui se mettent à Foursquare ou Places pour se faire connaître.
En effet, si on reprend le fonctionnement de Foursquare, il y a plusieurs étapes :
- la première est de s'ouvrir un compte bien entendu
- ensuite dès que l'on se trouve à un endroit, on ouvre son application et on se localise et comme par enchantement, une liste de lieux se présentent à nous !
- soit le lieux où l'on se trouve est déjà indiqué et on a juste à cliquer dessus et dire que l'on y est, soit le lieu n'existe pas encore et le "mobinaute" le crée et c'est là que tout se joue !
- enfin on peut ensuite diffuser cette information sur les autres réseaux sociaux comme Twitter ou Facebook.
L'enjeu est tel qu'aujourd'hui il semble plus que nécessaire aux commerces de proximité, entre-autres, d'être présents sur ces réseaux.
Il s'agit vraiment d'en faire un réel outil de promotion de son commerce et ainsi en étant référencé de cette façon là de pouvoir se faire connaître très facilement.
Aussi, pour une même ville, si tous les commerces, cinémas, entreprises se référencent, alors le mobinaute pourra se balader sans être inquiet de ne pas trouver un tabac, un restaurant, un McDo, un café, un centre commercial ou encore un site touristique. Il saura où aller, quoi chercher et toute l'information sera à sa portée. N'est ce pas magnifique ?
Un vrai outil marketing pour renforcer son image et développer son business, voila comment ces entreprises voient de tels outils et on ne peut leur reprocher de vouloir exploiter à fond le filon.
Et ce n'est que le début ...
Tout d'abord une petite définition wikipedia :) : la géolocalisation est un procédé permettant de positionner un objet (une personne, une information...) sur un plan ou une carte à l'aide de ses coordonnées géographiques. (j'avoue un peu inutile mais c'était pour le fun!)
Le plus connu des outils de géolocalisation est certainement le GPS, maintenant présent partout et embarqué sur une quantité infinie d'automobiles. Mais aujourd'hui, tous les smartphones valables du marché sont également géolocalisés. Et c'est pourquoi certaines sociétés ont suivi le filon en développant des outils permettant à tout individu directement de son téléphone portable de dire où il est et de partager cette information avec ses amis (j'entends par là, les gens avec qui il est connecté)
Personnellement, quand j'ai commencé à me connecter à Foursquare, c'était vraiment pour m'amuser et essayer de débloquer tout un tas de badges ! Et je me suis très vite arrêtée car je polluais mon Twitter et mon Facebook !
Cependant, ces outils vont bien au-delà de l'amusement et il serait très préjudiciable de n'y voir que mon cas très personnel.
Car aujourd'hui, on voit de plus en plus de commerces, cafés, restaurants, tabacs/presse, entreprises qui se mettent à Foursquare ou Places pour se faire connaître.
En effet, si on reprend le fonctionnement de Foursquare, il y a plusieurs étapes :
- la première est de s'ouvrir un compte bien entendu
- ensuite dès que l'on se trouve à un endroit, on ouvre son application et on se localise et comme par enchantement, une liste de lieux se présentent à nous !
- soit le lieux où l'on se trouve est déjà indiqué et on a juste à cliquer dessus et dire que l'on y est, soit le lieu n'existe pas encore et le "mobinaute" le crée et c'est là que tout se joue !
- enfin on peut ensuite diffuser cette information sur les autres réseaux sociaux comme Twitter ou Facebook.
L'enjeu est tel qu'aujourd'hui il semble plus que nécessaire aux commerces de proximité, entre-autres, d'être présents sur ces réseaux.
Il s'agit vraiment d'en faire un réel outil de promotion de son commerce et ainsi en étant référencé de cette façon là de pouvoir se faire connaître très facilement.
Aussi, pour une même ville, si tous les commerces, cinémas, entreprises se référencent, alors le mobinaute pourra se balader sans être inquiet de ne pas trouver un tabac, un restaurant, un McDo, un café, un centre commercial ou encore un site touristique. Il saura où aller, quoi chercher et toute l'information sera à sa portée. N'est ce pas magnifique ?
Un vrai outil marketing pour renforcer son image et développer son business, voila comment ces entreprises voient de tels outils et on ne peut leur reprocher de vouloir exploiter à fond le filon.
Et ce n'est que le début ...
mercredi 2 février 2011
Le RSE (Réseau Social d'Entreprise)
On parle beaucoup des réseaux sociaux comme Facebook ou Twitter mais parallèlement se développe également une autre tendance, le RSE (Réseau Social d'Entreprise). Il fonctionne toujours sur le principe d'une communauté, qui ici se composerait pour la majorité des salariés d'une entreprise.
Un des premiers objectifs du RSE est selon moi de permettre aux salariés, en dehors du processus normal de recherche des informations et de participation à la vie de la société (pause café, pause repas, discussion entre deux portes, réunions générales ...), de partager en temps réel sur des tâches en cours, des soucis rencontrés sur un projet, de mettre en commun des documents techniques, commerciaux, de discuter par tchat/jabber, d'organiser des évènements...
Avec le RSE, le concept du travail collaboratif prend toute son importance et il s'agit alors de remettre à jour l'organisation de la société et la façon de la manager.
Vous connaissez tous le principe du brainstorming où les salariés d'une société/d'un service se réunissent pour réfléchir à un nouveau concept, un nouveau produit, un slogan. Le RSE repose également sur cette idée de permettre à tout individu d'apporter SA pierre à l'édifice et ainsi d'être force de proposition.
On renforce alors la créativité et on met en avant l'intelligence collective.
Les RSE peuvent venir remettre en cause les vieilles organisations d'entreprises basées sur la séparation hiérarchique des tâches, la recherche à tout prix de l'efficacité. Il s'agit ici de se baser sur les compétences aussi diverses et variées que les caractères de chaque employé, d'abaisser un temps soit peu les barrières hiérarchiques et de faire du travail collaboratif une vraie arme pour l'entreprise.
Je reste persuadée que le RSE est également un bon moyen de renforcer la solidarité dans l'entreprise. En effet, si on se base sur les principes Facebook, Twitter, il semble plus facile de communiquer en étant au coeur d'un réseau de personnes avec leurs idées que par le biais d'autres moyens extérieurs où l'employé peut parfois se retrouver très seul pour défendre son concept/son idée/son travail.
Le RSE est également un bon moyen d'améliorer l'ambiance interne d'une entreprise car on entre plus dans un concept de partage.
Enfin, pour avoir utilisé un RSE pendant mes deux années d'alternance, j'ai vu son utilité au quotidien. J'ai toujours voulu me tenir informée des développements en cours des produits de ma société de l'époque mais il m'était parfois difficile de savoir où en étaient les informaticiens.
Aussi, à partir du moment ou nous avons installé Yammer, j'ai pu me tenir au courant en temps réel des activités de mes collègues de la R&D, qui régulièrement dans une journée, postaient des statuts d'avancement de leur tâches. Ceci est un exemple très basique et certainement un peu subjectif, mais par ce biais je me suis sentie plus concernée par mon activité et ma motivation était alors d'autant plus grande que je voyais les projets être menés à bien.
Au final, l'aspect participatif du RSE est un point crucial et avec une utilisation de plus en plus forte dans les entreprises, il se pourrait que les styles de management évoluent rapidement ...
Un des premiers objectifs du RSE est selon moi de permettre aux salariés, en dehors du processus normal de recherche des informations et de participation à la vie de la société (pause café, pause repas, discussion entre deux portes, réunions générales ...), de partager en temps réel sur des tâches en cours, des soucis rencontrés sur un projet, de mettre en commun des documents techniques, commerciaux, de discuter par tchat/jabber, d'organiser des évènements...
Avec le RSE, le concept du travail collaboratif prend toute son importance et il s'agit alors de remettre à jour l'organisation de la société et la façon de la manager.
Vous connaissez tous le principe du brainstorming où les salariés d'une société/d'un service se réunissent pour réfléchir à un nouveau concept, un nouveau produit, un slogan. Le RSE repose également sur cette idée de permettre à tout individu d'apporter SA pierre à l'édifice et ainsi d'être force de proposition.
On renforce alors la créativité et on met en avant l'intelligence collective.
Les RSE peuvent venir remettre en cause les vieilles organisations d'entreprises basées sur la séparation hiérarchique des tâches, la recherche à tout prix de l'efficacité. Il s'agit ici de se baser sur les compétences aussi diverses et variées que les caractères de chaque employé, d'abaisser un temps soit peu les barrières hiérarchiques et de faire du travail collaboratif une vraie arme pour l'entreprise.
Je reste persuadée que le RSE est également un bon moyen de renforcer la solidarité dans l'entreprise. En effet, si on se base sur les principes Facebook, Twitter, il semble plus facile de communiquer en étant au coeur d'un réseau de personnes avec leurs idées que par le biais d'autres moyens extérieurs où l'employé peut parfois se retrouver très seul pour défendre son concept/son idée/son travail.
Le RSE est également un bon moyen d'améliorer l'ambiance interne d'une entreprise car on entre plus dans un concept de partage.
Enfin, pour avoir utilisé un RSE pendant mes deux années d'alternance, j'ai vu son utilité au quotidien. J'ai toujours voulu me tenir informée des développements en cours des produits de ma société de l'époque mais il m'était parfois difficile de savoir où en étaient les informaticiens.
Aussi, à partir du moment ou nous avons installé Yammer, j'ai pu me tenir au courant en temps réel des activités de mes collègues de la R&D, qui régulièrement dans une journée, postaient des statuts d'avancement de leur tâches. Ceci est un exemple très basique et certainement un peu subjectif, mais par ce biais je me suis sentie plus concernée par mon activité et ma motivation était alors d'autant plus grande que je voyais les projets être menés à bien.
Au final, l'aspect participatif du RSE est un point crucial et avec une utilisation de plus en plus forte dans les entreprises, il se pourrait que les styles de management évoluent rapidement ...
dimanche 30 janvier 2011
Il n'est jamais trop tard pour parler d'une NetFactory !
Il est vrai que la première Net factory à laquelle j'ai participé se déroulait début Décembre et qu'il se fait un peu tard pour en reparler. Alors je vais aborder le problème d'un point de vue différent :)
Les problématiques mises en avant lors de cette Net Factory sont selon moi toujours là et il est nécessaire d'en parler, pour aider au bon développement des médias sociaux dans une stratégie d'entreprise .
La première chose qui m'a marqué est de voir à quel point les personnes ne savaient pas vraiment comment commencer à utiliser LE fameux média social pour communiquer en dehors de l'entreprise et ainsi améliorer sa relation avec son client. Car le but premier d'une stratégie orientée médias sociaux est de se rapprocher de son client, pour mieux comprendre ses besoins et ainsi les anticiper.
L'enjeu est primordial car il s'agit d'être toujours en avance sur le marché, pour pouvoir se démarquer de la concurrence. Et pour cela, pas de secret, il faut être innovant, créatif, comprendre ce que veut le client avant que lui ne s'en rende compte.
Mais pour atteindre ce but ultime, il faut rester authentique et être toujours proche de sa communauté. Ici est l'un des premiers points qui est ressorti de la Net Factory
La seconde chose sur laquelle j'aimerai revenir est la confusion entre les différents médias sociaux. "Est ce qu'il faut que j'utilise Facebook ? Twitter c'est peut être mieux ? Mais qu'en est-il de Linkedin, Viadeo, Slideshare ... ? "
Je me suis assez rapidement rendue compte que les participants ne savaient pas vraiment sur quel média se lancer en premier. Il est vrai que quand on arrive sur la dedans, c'est un vrai Nomansland et il est très facile de se perdre dans les genres. "Mais attendez Facebook c'est plus personnel non, et Twitter, 140 caractères c'est peut être insuffisants, on peut rien dire en 140 mots ... "
Alors le conseil des spécialistes est de d'abord cibler son client, comprendre ses habitudes, les endroits plus propices à communiquer sur les produits où le client se retrouvera rapidement et se sentira concerné. Il s'agit de partir sur de bonnes bases. Sans ses bases, impossible de construire une stratégie durable sur les médias sociaux.
Il faut donc prendre le temps d'apprendre, de comprendre quel outil fait quoi ? Très rapidement il deviendra logique pour une société de communiquer sur Facebook ou sur Twitter ou les deux. Si on fait du BtoC, Facebook semblera plus judicieux (Fnac, Nestlé, Coca-Cola, sont autant de marques qui ont réussi à percer sur Facebook). Si on se spécialise sur un marché comme la communication, le graphisme, le développement web, C, C++ etc ... Twitter pourrait être privilégié car on y retrouve des spécialistes dans leurs domaines. Il faut donc savoir à qui on veut s'adresser !
Facebook comme Twitter proposent des outils permettant de classer les individus par liste. Recourir à ces listes va également permettre de segmenter sa cible pour préciser un profil et ensuite adapter le discours.
La troisième chose est qu'il faut prendre son temps, ne surtout pas se précipiter car un client acquis peut très rapidement redevenir un client à retoucher, re-sensibiliser. Il faut donc trouver les bons canaux pour diffuser de l'information. L'important est également le contenu que l'on souhaite apporter au client. Là aussi, il faut prendre son temps car le réseau social est complexe. Il ne suffit pas de faire de la promotion de ses produits en offrant des bons, des coupons, des codes de réduction ou en annonçant des nouveautés, il faut un contenu dynamique (des vidéos, des photos, une mise à jour régulière de ses statuts).
Il faut créer l'envie d'aller sur une page fan ou de suivre un compte twitter. Pour cela, on pourrait même parler d'un contenu journalistique (des titres accrocheurs, un argumentaire ciblé, travaillé, un vrai style d'écriture). Il est donc important d'aller à l'essentiel en quelques mots seulement. Le lecteur ne doit jamais s'ennuyer et doit sans cesse avoir l'impression d'apprendre quelque chose de nouveau.
Pour conclure, je dirai qu'avec les médias sociaux, il faut fixer des règles du jeu et qu'il est important d'être organisé. Il faut également apprendre à évoluer avec les outils qui eux aussi évoluent.
Nous devons nous aussi être en avance sur nos outils de travail pour ne pas se faire distancer !
Les problématiques mises en avant lors de cette Net Factory sont selon moi toujours là et il est nécessaire d'en parler, pour aider au bon développement des médias sociaux dans une stratégie d'entreprise .
La première chose qui m'a marqué est de voir à quel point les personnes ne savaient pas vraiment comment commencer à utiliser LE fameux média social pour communiquer en dehors de l'entreprise et ainsi améliorer sa relation avec son client. Car le but premier d'une stratégie orientée médias sociaux est de se rapprocher de son client, pour mieux comprendre ses besoins et ainsi les anticiper.
L'enjeu est primordial car il s'agit d'être toujours en avance sur le marché, pour pouvoir se démarquer de la concurrence. Et pour cela, pas de secret, il faut être innovant, créatif, comprendre ce que veut le client avant que lui ne s'en rende compte.
Mais pour atteindre ce but ultime, il faut rester authentique et être toujours proche de sa communauté. Ici est l'un des premiers points qui est ressorti de la Net Factory
La seconde chose sur laquelle j'aimerai revenir est la confusion entre les différents médias sociaux. "Est ce qu'il faut que j'utilise Facebook ? Twitter c'est peut être mieux ? Mais qu'en est-il de Linkedin, Viadeo, Slideshare ... ? "
Je me suis assez rapidement rendue compte que les participants ne savaient pas vraiment sur quel média se lancer en premier. Il est vrai que quand on arrive sur la dedans, c'est un vrai Nomansland et il est très facile de se perdre dans les genres. "Mais attendez Facebook c'est plus personnel non, et Twitter, 140 caractères c'est peut être insuffisants, on peut rien dire en 140 mots ... "
Alors le conseil des spécialistes est de d'abord cibler son client, comprendre ses habitudes, les endroits plus propices à communiquer sur les produits où le client se retrouvera rapidement et se sentira concerné. Il s'agit de partir sur de bonnes bases. Sans ses bases, impossible de construire une stratégie durable sur les médias sociaux.
Il faut donc prendre le temps d'apprendre, de comprendre quel outil fait quoi ? Très rapidement il deviendra logique pour une société de communiquer sur Facebook ou sur Twitter ou les deux. Si on fait du BtoC, Facebook semblera plus judicieux (Fnac, Nestlé, Coca-Cola, sont autant de marques qui ont réussi à percer sur Facebook). Si on se spécialise sur un marché comme la communication, le graphisme, le développement web, C, C++ etc ... Twitter pourrait être privilégié car on y retrouve des spécialistes dans leurs domaines. Il faut donc savoir à qui on veut s'adresser !
Facebook comme Twitter proposent des outils permettant de classer les individus par liste. Recourir à ces listes va également permettre de segmenter sa cible pour préciser un profil et ensuite adapter le discours.
La troisième chose est qu'il faut prendre son temps, ne surtout pas se précipiter car un client acquis peut très rapidement redevenir un client à retoucher, re-sensibiliser. Il faut donc trouver les bons canaux pour diffuser de l'information. L'important est également le contenu que l'on souhaite apporter au client. Là aussi, il faut prendre son temps car le réseau social est complexe. Il ne suffit pas de faire de la promotion de ses produits en offrant des bons, des coupons, des codes de réduction ou en annonçant des nouveautés, il faut un contenu dynamique (des vidéos, des photos, une mise à jour régulière de ses statuts).
Il faut créer l'envie d'aller sur une page fan ou de suivre un compte twitter. Pour cela, on pourrait même parler d'un contenu journalistique (des titres accrocheurs, un argumentaire ciblé, travaillé, un vrai style d'écriture). Il est donc important d'aller à l'essentiel en quelques mots seulement. Le lecteur ne doit jamais s'ennuyer et doit sans cesse avoir l'impression d'apprendre quelque chose de nouveau.
Pour conclure, je dirai qu'avec les médias sociaux, il faut fixer des règles du jeu et qu'il est important d'être organisé. Il faut également apprendre à évoluer avec les outils qui eux aussi évoluent.
Nous devons nous aussi être en avance sur nos outils de travail pour ne pas se faire distancer !
mercredi 15 décembre 2010
Qui n'a jamais rêvé de faire le tour du monde ?
En surfant sur mon facebook, je tombe sur ce lien posté par un de mes contacts.
Je suis directement tombée sous le charme de ce teaser d'un film d'un jeune français, Romain Corraze parti explorer le monde pendant 365 jours.
Qui n'a jamais pensé au moins une fois dans sa vie à quitter son boulot, ses habitudes, sa vie monotone et parfois triste, pour partir à l'aventure et découvrir de nouvelles civilisations, de nouvelles cultures ?
Ce rêve de liberté, nous l'avons tous et nous cherchons sans cesse à le réaliser, de manière parfois très différente. Certains vont préférer quitter un statut de salarié pour se mettre à leur compte, d'autres vont vouloir voyager, partir loin, d'autres vont décider d'être propriétaire d'un logement, d'une voiture ... Romain Corraze a lui décidé de tout quitter pendant 1 an, sa famille, ses amis, sa copine, son boulot.
On ne peut que l'admirer d'avoir eu le courage de ses envies et d'avoir mener à bien ce beau projet.
Aujourd'hui, il nous le fait partager par son film, qui sort le 15 janvier 2011 en DVD : plus de 1200 Go de fichiers vidéos, des sous-titrages en anglais, espagnol, portugais, russe, une bande son originale, un vrai travail de pro.
Mon coup de cœur que je partage à mon tour et je vais de ce pas commander en avant-première le DVD !
Plus d'informations sur http://www.romain-world-tour.com et http://www.backpacker-themovie.com/
Je suis directement tombée sous le charme de ce teaser d'un film d'un jeune français, Romain Corraze parti explorer le monde pendant 365 jours.
Qui n'a jamais pensé au moins une fois dans sa vie à quitter son boulot, ses habitudes, sa vie monotone et parfois triste, pour partir à l'aventure et découvrir de nouvelles civilisations, de nouvelles cultures ?
Ce rêve de liberté, nous l'avons tous et nous cherchons sans cesse à le réaliser, de manière parfois très différente. Certains vont préférer quitter un statut de salarié pour se mettre à leur compte, d'autres vont vouloir voyager, partir loin, d'autres vont décider d'être propriétaire d'un logement, d'une voiture ... Romain Corraze a lui décidé de tout quitter pendant 1 an, sa famille, ses amis, sa copine, son boulot.
On ne peut que l'admirer d'avoir eu le courage de ses envies et d'avoir mener à bien ce beau projet.
Aujourd'hui, il nous le fait partager par son film, qui sort le 15 janvier 2011 en DVD : plus de 1200 Go de fichiers vidéos, des sous-titrages en anglais, espagnol, portugais, russe, une bande son originale, un vrai travail de pro.
Mon coup de cœur que je partage à mon tour et je vais de ce pas commander en avant-première le DVD !
Plus d'informations sur http://www.romain-world-tour.com et http://www.backpacker-themovie.com/
lundi 6 décembre 2010
Ma première Netfactory J-1
Demain, j'aurai le plaisir de participer à ma première Netfactory au 11e forum de la création et de l'entrepreneuriat, qui se tient à Montpellier, les 7 & 8 décembre 2010.
Vous allez me dire, mais qu'est-ce encore que ce mot barbare et je vous comprendrais !
Alors voici une petite explication : une Netfactory, c'est une sorte de journée atelier réunissant autour d'une même table, des pros du web, des salariés, des porteurs de projet et des entrepreneurs, sur un thème donné.
Les 7 & 8 décembre, trois grands sujets de discussion et de débat seront au goût du jour : réseaux sociaux, Internet mobile, visibilité et référencement.
Pour aller plus loin sur le concept de la Netfactory, il s'inspire de celui des BarCamp.
Le BarCamp est un forum de discussion, mais autour d'une table, ou l'on échange et partage nos expériences sur le principe "pas de spectateurs, tous participants."
Quant à moi, je participerai à la Netfactory sur le thème des réseaux sociaux, mon grand dada depuis plus d'un an maintenant ! Je vois cette initiative comme un super moyen de discuter autour de thèmes, qui aujourd'hui prennent de plus en plus d'ampleur sur la toile. Que ce soit les réseaux sociaux, la visibilité, le référencement ou l'internet mobile, ces grands thèmes sont au coeur de la stratégie de l'entreprise web 2.0 et il est important de partager pour mieux comprendre pourquoi cette tendance et comment s'illustre t-elle dans nos entreprises aujourd'hui.
En tant que salariée, il me serait difficile de décider de la stratégie de mon entreprise mais je vois la Netfactory comme une opportunité de mettre en avant les avantages d'une stratégie de communication orientée web. En effet, j'espère rencontrer lors de cet atelier des personnes, qui ont mis en place une telle stratégie et qui ont peut être aujourd'hui plus de recul que moi sur son importance dans l'entreprise.
Je crois en la nécessité pour les entreprises de se tourner vers une Communication en instantané, en réel, permettant d'être sans cesse en relation avec son environnement. C'est pourquoi, je participe à un tel atelier pour soutenir ce en quoi je crois le plus, à savoir une entreprise qui saura se rapprocher de son client et engager avec lui une vraie relation de confiance. Les réseaux sociaux sont un bon moyen pour l'entreprise de fonder sa communauté et ainsi se forger une vraie image d'entreprise sociale, qui, oui a besoin de faire du profit pour rester en vie, mais sans rogner sur l'essentiel à savoir sa clientèle.
Il faut donc faire du buzz pour soutenir ces entreprises là, qui investissent dans ce renouveau de la communication et du marketing car elles y croient tout simplement !
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